En ce mois d’août, j’ai déjà fière allure à vous proposer non pas un article recyclé mais une petite leçon (déguisée et amusante). Ainsi donc, je fais tâche, car à l’inverse de mes collègues mais néanmoins concurrents, je ne me suis pas décidé pour le golf idyllique, baigné par les eaux cristallines de je ne sais quelle étendue marine. Pas de sport non plus, même si un 18 trous au golfe me ferait le plus grand bien mais je ne peux me l’accorder. Cette année, même en été, une tache m’attend : mon travail. Je vitupère contre ces donneurs d’ordre, auxquels je passe néanmoins le bonjour courtois.
Décrépi comme l’est ma façade, je me suis octroyé, entre deux textes, une demi-heure d’activité intense. Une cote à gravir en vélo et me revoilà tout disposé à reprendre de plus belle. Mais même si je passe mon temps à vous servir, je m’autorise néanmoins quelques plaisirs : faire bonne chair et profiter d’un mets succulent. Voilà les plaisirs que je m’autorise. Au vu des fautes laissées dans le texte, je conçois maintenant m’être trop laissé abusé par Bacchus.
Alors, chers lecteurs et chères lectrices, combien de fautes dans ce (court) texte ? Comme quoi l’orthographe est un formidable terrain de jeu. Le gagnant gagne le premier lot, à savoir le droit d’avoir sa correction en place public.